humeur, humeurs

Ca, c'est pas de chance.

Figurez vous que ce matin mon ordinateur au « boulot » a refusé catégoriqement de démarrer. Cela arrive. Bref j'appelle notre service de dépannage interne. Le nécessaire est rapidement fait pour que je sois à nouveau opérationnel.

Un peu plus tard dans la journée le service en question me rappelle pour savoir si mon poste est réellement tombé en panne aujourd'hui ou si ce n'était pas un peu plus tôt, genre vendredi dernier.

Moi, un peu susrpris : « ben oui, je l'ai éteint vendredi soir (consigne de sécurité oblige), mais ce matin, rien. Pourquoi ? »

Lui : c'est pas de chance, le PC est hors garantie, et ce, depuis hier.

En fait la garantie de l'ordinateur était de 3 ans. Et elle prenait fin à date anniversaire de la mise en service, donc samedi soir.

Pas de chance, c'est sûr.

Le plus beau de l'histoire arrive.

Le gars rajoute : « le pire c'est que c'est la 2e fois en moins de 15 jours que cela nous arrive avec un PC de la même marque. Un autre est tombé en panne le lendemain de la fin de la garantie »

Vraiment pas de chance. A moins que la chance n'ait été quelque peu aidée ???

Il m'arrive parfois d'acheter, dans mon hyper préféré (préféré surtout parce que c'est le plus proche de chez moi), des bonbons en vrac. C'est quand même moins cher que les sachets.

Jusqu'à la semaine dernière il en coutait 69 centimes d'euros pour 100gr. Ce cette semaine le tarif a été revu à la hausse. Il faudra maintenant débourser 75 centimes pour acquérir les mêmes 100gr. Voilà une bien belle augmentation ; 8,7%.

J'avoue que j'aimerai bien que mon salaire augmente du même pourcentage. Mais bon...

Je suppose que l'on va venir m'expliquer que la hausse des matières première n'avait pas été répercuté depuis un bon moment, ou que de toute façon c'est encore moins cher qu'un paquet de bonbons du même poids, ou je ne sais quoi d'autre.

Quoiqu'il en soit c'est comme cela. J'aimerai bien savoir quels autres produits ont pris de belles claques comme celle là...

Non, il ne s'agit ni de plaques d'égouts ni d'argent, mais de plaques d'immatriculation.

Habitant la Loire Atlantique (département 44) voici ce que j'ai pu voir de mes propres yeux.

Une voiture immatriculée BZH 44. Plaque assez cocasse quand on sait que la Loire Atlantique ne fait pas officiellement partie de la Bretagne même si le drapeau breton flotte sans vergogne à côté du drapeau Français et du drapeau européen devant le conseil général.

J'ai également croisé une splendide Porche immatriculée BMW 44. Ca craint pour la Porche. J'espère que les 2 marques ne sont pas en procès pour cette broutille.

J'ai pu voir également une voiture immatriculée BMC 44. Là il faut avoir fait son service militaire où avoir été militaire de carrière pour connaître la signification de ces initiales. BMC est le sigle de « Bordel Militaire de Campagne ». Lors des conflits il y avait toujours au moins une « officine » de ce type qui suivaient les troupes.

Voilà, c'est tout pour l'instant.

Hormis les enduristes et une poignée de motards, personne n'en entendra parler. Cela n'intéresse pas les médias nationaux. Et pourtant, l'équipe de France masculine d'enduro vient de remporter le championnat du monde d'enduro par équipe qui se déroulait en Grèce. Et ce devant une trentaine d'autres nations.

C'est d'autant plus remarquable que c'est la première fois en 80 ans que la France triomphe en dehors de ses frontières. Elle avait déjà remporté 2 fois le titre suprème, mais à chaque fois cela se déroulait en France (Brioude et Mende). Là, c'est fait et c'est à l'extérieur, le tout en ayant mené la compétition durant les 6 jours de courses.

Un bonheur ne venant jamais seul, l'équipe de France fémine a fait de même, lors du même événement et ce pour la première fois de sa jeune histoire (le championnat féminin n'existe que depuis 2007, où la France avait terminé 2e).

Nos pilotes juniors complètent cette main mise insolente sur la discipline en terminant sur la 3e place du podium.

Bravo à tous et toutes. Dommage qu'il faille être un passionné pour le savoir.

Rendez-vous en 2009, pour remettre vos titres en jeu...

Un petit tour en Bretagne

Après avoir vu le dernier clip de la chanteuse Yelle (Titre : ce jeu), force est de constaté qu'elle poursuit dans la même voie ; ne pas se prendre la tête.

Décors colorés et minimalistes, rien de bien sophistiqué sur la mise en scène. La musique est suffisamment simple et répétitive pour s'imprimer facilement dans les neurones.

La nouveauté (enfin je crois) est que grâce à une tenue assez « légère », Yelle permet à ceux qui sont assez attentifs de découvrir sa poitrine. Bon rien de bien grave, une poitrine reste une poitrine. Après tout, toutes les femmes en ont une. Tout ce que l'on peut en dire, c'est que la chanteuse ne risque pas de se ruiner en soutien gorge, elle n'en a pas vraiment besoin.

Après, que ce soit le clip, la chanteuse, la tenue, la chanson, tout n'est histoire que de goût. On aime où on aime pas. C'est raffraichissant mais je ne suis pas certain que cela restera dans les annales.

Ah si nous pouvions élire la publicité la plus mauvaise du moment. Je sais pour laquelle je voterai sans aucune hésitation.

Ce serait pour celle, ou plutôt celles dont nous abreuve le Crédit Lyonnais depuis quelque temps. Le ton sonne faux, les acteurs jouent faux, on a carrément l'impression qu'ils s'ennuient, le texte est totalement insipide. C'est nul. Je n'avais déjà pas envie d'avoir un compte chez eux, avant cela. Mais avec un type de publicité comme celui-là, c'est sûr, je n'irai pas chez eux.

Ceci dit, ils n'attendent surement pas après moi pour vivre. Donc tout va bien. Mais que c'est mauvais.

Juste un petit conseil, gratuit ; ne payez pas votre agence de publicité pour cette prestattion, elle n'en vaut pas la peine...

Alors heureux ??? ah ben oui, et pas qu'un peu !!!

Hier un quotidien titrait « Les françaises brillent à l'US OPEN ». S'ensuivait un article nous vantant les mérites et les exploits de trois joueuses de tennis bien de chez nous.

Le lendemain, qu'apprenons-nous ? Que nos trois tricolores se sont fait balayer lors des 1/8e de finale. En prime le dernier français s'est lui aussi fait sortir. Comme le soulignait alors le journaliste, cela faisait plus de 10 ans que l'on n'avait pas vu cela ; aucun français en ¼ de finale de l'US OPEN.

La veille, les exploits. Le lendemain, le cauchemard. Joli grand écart. Je serai curieux de voir comment le journaliste va pouvoir expliquer cela.

Bref, nous sommes passés du plein soleil, à la nuit la plus profonde, en une journée et deux articles...

Je ne sais pas si c'est identique dans toutes les villes, mais sur la région Nantaise il est préférable de connaitre quelques règles non écrites en matière de circulation.

L'une des plus importantes est que le STOP y est considéré assez régulièrement comme un simple céder le passage. C'est surprenant, mais autant le savoir. Ne vous attendez pas nécessairement à ce qu'une voiture qui arrive sur un stop vous laisse la priorité.

Dans le même ordre d'idée, méfiance sur les rues à sens unique, vous pourriez bien vous retrouver avec un vélo en face de vous. Vélo qui remonte donc en sens interdit.

Je passe brièvement sur tous les crétins qui au niveau du périphérique vont se caler à 70km/h en passant près d'un radar fixe alors que c'est limité à 90. On ne sait jamais, des fois que le radar fasse du zèle. Cela se passe de préférence sur la voix de gauche. De telle sorte que juste après le radar, ils pourront remonter rapidement à 110. Faut pas déconner quand même, la limitation de vitesse ce n'est obligatoire qu'au niveau des radars, c'est bien connu...

Enfin pour terminer, le plus dangereux. Gare au tramway. Lorsqu'une route croise la voie du tram, méfiance. Il y a bien un énorme feu rouge clignotant qui vous signale l'arrivée imminente d'un Tram. Le problème est que le feu en question n'est pas là où on l'attend, du coup, on ne voit pas ce satané feu en train de clignoter. Et c'est le carton assuré. Cela arrive presque toutes les semaines, avec malheureusement parfois la mort du conducteur du véhicule.

Nantes, ce n'est quand même pas le far west en voiture, mais autant être prévenu.