Eradication totale...
Voilà la question qui me trotte dans la tête depuis quelques temps. Allons nous réussir (c’est une façon de parler) à nous éradiquer complètement de la surface de notre chère petite planète bleue.
Entre des cataclysmes de plus en plus violents et fréquents, des pandémies en cours comme le SIDA et celles à venir (même si ce n’est pas sûr) comme la grippe aviaire et autre joyeusetés à découvrir, on pourrait finir par croire que si nous ne faisons pas tout pour l’éviter, nous ne faisons pas grand chose pour en réchapper.
Alors certains vont me dire, une pandémie, une pandémie, comme vous y aller. Commençons donc par un peu d’étymologie (c’est la minute culturelle, il faut en profiter, je ne recommencerai pas souvent). Pandémie vient de deux mots Grecs « pan » qui signifie « tout » et « demos » qui signifie « peuple ». Une pandémie est donc la contagion qui touche un continent ou plusieurs, voire toute la planète.
La dernière pandémie en date remontait à la période 1918-1920. C’était la grippe espagnole qui a pris dans ses filets quelques 15 millions de personnes, dans le monde entier.
Celle en cours est le SIDA, puisque là ce sont près de 40 millions qui ont été touchées.
La prochaine, si prochaine il y a sera … sera peut être la grippe aviaire. Pour l’instant, il ne s’agit que de quelques cas isolés par ci par là. Gageons que cela ne dépassera pas ce stade là.
Mais force est de constater que nous semblons mettre une apparente bonne volonté à disparaître. Serons nous les successeurs des dinosaures ?
Heureusement, pour reprendre une expression qui m’est chère ; aujourd’hui le soleil s’est levé à l’Est et se couchera très probablement ce soir à l’ouest.
J’espère juste que je pourrai continuer à affirmer cela le plus longtemps possible.