à l'état d'épidémie...
Voici donc la suite du feuilleton entamé le 16 décembre. C’est maintenant le 3e épisode de ma saga involontaire « Sudoku ».
Petit retour en arrière. Lors du premier épisode, le héros (moi en l’occurrence) relatait comme il avait craqué pour sa première grille (une grille facile) de ce « petit » jeu de réflexion.
Dans le deuxième épisode, il était question de progression du mal. J’en étais alors à trois petites grilles par semaine, mais j’étais le seul touché chez moi.
Reprenons le fil du temps et des événements. Deux semaines se sont écoulées et les choses ont encore avancées. Je ne me chronomètre plus, par contre je me suis inscrit à un mini tournoi sur l’un des blogs de canalblog. Tournoi richement doté pour le vainqueur de … … de la considération des autres, et c’est déjà pas mal. Par contre l’épidémie s’est propagée à l’entourage immédiat. Deux de mes enfants et mon conjoint ont mordu à l’hameçon.
Pour l’instant la « touche » est légère, mais les poissons seront sûrement bientôt complètement ferrés. Comme nous ne disposons pas d’un stock impressionnant de grilles, nous résolvons celles que nous trouvons en notant tout au crayon à papier. Une fois la (les) grille(s) terminée(s), nous effaçons les solutions et transmettons des grilles à nouveau vierges au suivant.
Première conclusion : le temps d’incubation est assez court. En moins de deux semaines, le mal se transmet à tout ou partie de l’entourage immédiat.
Deuxième conclusion : ce mal étrange touche aussi les cours de récréation, car j’ai vu arriver des grilles en provenance de l’école.
Question : Combien de temps dure l’épidémie. Mode ou pas ?
Affaire à suivre…